Pour une nouvelle action  à Calarasi.

Bien évidemment nous n’oublions pas  les élèves malentendants, petits et  grands  de BUCAREST, lycée technologique n°3. Tiberiu vient d’ailleurs de  nous faire parvenir...

Bien évidemment nous n’oublions pas  les élèves malentendants, petits et  grands  de BUCAREST, lycée technologique n°3. Tiberiu vient d’ailleurs de  nous faire parvenir   des  photos  prises avec les  plus petits qui remercient  Enfant « Espoir et Vie »

Mais là-bas, du côté du Danube…ils  ont aussi besoin du soutien de l’association. C’est le  judet (= le département de Roumanie)  qui détient le triste record  des gens sans travail. Hormis « le beau Danube…bleu », c’est à Calarasi qu’il est le  plus large de tout son cours à travers l’Europe, la région découverte à l’automne  2013 m’est apparue aussi attachante que triste. Bien différente de l’aspect riant et  touristique de Bucovine et des Maramures, au nord de la Roumanie. Calarasi est au sud-est de Bucarest, à 120 kms de la capitale  à 2 pas de la Bulgarie, juste sur l’autre rive du Danube.

Ioana Dumitru est professeur d’informatique au lycée Eminescu. J’ai eu alors l’occasion de la rencontrer  et d’échanger avec elle, ce qui est assez facile, car elle a courageusement appris le français  lors de différents petits séjours en France. Elle m’a fait part  de  la situation problématique de  21 jeunes,  20 dans son lycée, une au lycée Stirbei. Celle-ci s’appelle Andrea, elle vit  à 15 kms de  son établissement. La famille d’Andrea  n’a même pas assez de pain  ni de nourriture m’explique Ioana et les tickets de bus pour aller  à l’école manquent!...La situation doit être un peu similaire pour les  20 autres.

Chaque  jeune prépare justement  avec sa photo un dossier de présentation  pour l’association ; et la famille (souvent  un seul parent  ou grand parent) déposera au lycée des documents sur la situation familiale et les conditions de vie.

Ioana s’engage  à  nous tenir  régulièrement au courant  de l’évolution de la situation de ces  21 jeunes.
L’aide financière permettra à Calarasi (comme à Bucarest) d’acheter des fournitures scolaires, des vêtements et de « la nourriture de base » ; tous ces achats  se feront en présence d’Ioana et d’un  autre professeur et en présence des jeunes  pour qu’ils prennent bien conscience du soutien que  nous  pourrons leur apporter, grâce  à vous tous.

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